Après avoir testé un trajet en train en plein rush matinal des travailleurs se rendant à leur bureau (en fait une bête erreur de train!), nous débarquons à Inari pour l'un des sites les plus emblématiques de Kyoto : le Fushimi Inari Taisha.
Il s'agit du plus grand sanctuaire shintoïste du Japon, construit au VIIIème siècle et dédié à Inari, déesse du riz et des céréales. L'attraction principale est l'ascension du mont Inari-san par un chemin bordé de milliers de torii (portiques de sanctuaire) orange vif et d'une multitude de temples annexes. Les inscriptions en noir sur les portiques, aussi belles soient-elles pour nous, sont en fait le nom des sponsors qui ont payé pour être placés là, le prix pouvant même grimper jusqu'à plusieurs dizaines de millier de yens par torii!
Il s'agit du plus grand sanctuaire shintoïste du Japon, construit au VIIIème siècle et dédié à Inari, déesse du riz et des céréales. L'attraction principale est l'ascension du mont Inari-san par un chemin bordé de milliers de torii (portiques de sanctuaire) orange vif et d'une multitude de temples annexes. Les inscriptions en noir sur les portiques, aussi belles soient-elles pour nous, sont en fait le nom des sponsors qui ont payé pour être placés là, le prix pouvant même grimper jusqu'à plusieurs dizaines de millier de yens par torii!
Le site est gardé par des centaines de statues de renards, messagers sacrés d'Inari dotés de la capacité de "posséder" les humains (avec comme porte d'entrée les dessous des ongles, paraît-il!).
Magnifique ascension d'environ quatre kilomètres qui nous emmène jusqu'au sommet de la montagne par un temps radieux.
Au retour, nous constatons que l'idée de venir de bonne demeure comme toujours la meilleure solution : une foule compacte se presse au commencement du sentier... comparé à la photo à notre arrivée... la journée appartient définitivement à ceux qui se lèvent tôt ^^ ! Bien plus agréable pour faire des photos sans personne dessus, même si parfois il faut patienter un peu pour avoir le moment propice.
Ce n'est qu'après une salutaire pause à l'hôtel et un savoureux repas coréen que nous nous remettons en route, direction l'autre extrémité de la ville et l'un de ses temples les plus célèbres : le Kinkaku-ji, ou Pavillon d'or. Contrairement au Pavillon d'argent qui n'en a que le nom, celui-ci est bel et bien recouvert de feuilles d'or et scintille de mille feux au bord d'un joli étang. Il n'est hélas pas possible d’accéder à l'intérieur, ouvert seulement en de rares occasions.
En début de soirée, nous rejoignons le cœur de la ville et ses grandes avenues bordées de magasins. La galerie marchande de Teramachi est d'un format assez inhabituel pour nous : c'est en fait plusieurs rues couvertes devenues piétonnes, constituant une très intéressante succession de boutiques proposant tous les articles possibles et imaginables. De quoi se faire bien des envies avant de rentrer profiter d'une nuit de sommeil bien méritée!
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